comme tous les ans nous nous sommes réunis pour prier sur le site des inhumations de vendéens au Mans. Après quoi au café du jet d'eau nous sommes restés quelques temps pour parler des découvertes faites ou en cours sur les squelettes des fouilles.
Nous retrouverons ainsi :
le samedi 15 décembre 2012 à 17h.
le samedi 14 décembre 2013 à 17h
le samedi 13 décembre 2014 à 17h
le samedi 12 décembre 2015 à 17h
le samedi 10 décembre 2016 à 17h
blog de la section La Flèche-Le Mans de l'association du Souvenir Vendéen.
mardi 13 décembre 2011
jeudi 10 novembre 2011
Chers Amis, comme chaque année, nous nous réunirons aux Jacobins.
Prière
à 17h
le samedi 10 décembre 2011
allée des veuves
près de la palissade des travaux du théâtre
côté cathédrale
dans l'allée qui recouvre le charnier de 1793.
Étant donné les travaux pour accéder au lieu de la prière,
il faut descendre vers le jardin par le boulevard devant la cathédrale
à une vingtaine de mètres à partir du feu tricolore
Étant donné les travaux pour accéder au lieu de la prière,
il faut descendre vers le jardin par le boulevard devant la cathédrale
à une vingtaine de mètres à partir du feu tricolore
Ensuite nous nous retrouverons au café du jet d'eau comme les années précédentes.
lundi 4 avril 2011
journée du 3 avril à La Flèche
le dimanche 3 avril 20011
La journée commença par une prière à la croix des Vendéens.
Ensuite l'assistance se rendit au Doussay qui héberge le drapeau de Bonchamps. Madame Morel qui descend en droite ligne de Bonchamps nous retraça le parcours de cette relique des guerres de Vendée.
A 11h nous fûmes accueillis à l'église Saint Thomas par le père Cléret à la messe dominicale. Nous recueillîmes autour de la plaque du Souvenir Vendéens des prêtres vendéens martyrs de la Révolutions et béatifiés.
Le collège-lycée Notre-Dame nous avait ouvert grand ses portes pour notre déjeuner pique-nique et la conférence.
Après le repas on visita la salle ou se tirent les conseils de conseil de guerre de Monsieur Henri lors du passage à la Flèche.
C'est par un tonitruant Vexilla regis (les étendards du roi s'avancent) entonné par Pierre Gréau puis repris par l'assistance que débuta la conférence de celui-ci. Notre ami historien précis et pointu comme toujours nous parla de vexillogie vendéenne. Il présenta 3 drapeaux vendéens connus et existants à ce jour, la garde au drapeau ainsi que les différents guidons connus à ce jour.
Une prière à la chapelle de Notre-Dame clotura la journée.
La journée commença par une prière à la croix des Vendéens.
Ensuite l'assistance se rendit au Doussay qui héberge le drapeau de Bonchamps. Madame Morel qui descend en droite ligne de Bonchamps nous retraça le parcours de cette relique des guerres de Vendée.
A 11h nous fûmes accueillis à l'église Saint Thomas par le père Cléret à la messe dominicale. Nous recueillîmes autour de la plaque du Souvenir Vendéens des prêtres vendéens martyrs de la Révolutions et béatifiés.
Le collège-lycée Notre-Dame nous avait ouvert grand ses portes pour notre déjeuner pique-nique et la conférence.
Après le repas on visita la salle ou se tirent les conseils de conseil de guerre de Monsieur Henri lors du passage à la Flèche.
C'est par un tonitruant Vexilla regis (les étendards du roi s'avancent) entonné par Pierre Gréau puis repris par l'assistance que débuta la conférence de celui-ci. Notre ami historien précis et pointu comme toujours nous parla de vexillogie vendéenne. Il présenta 3 drapeaux vendéens connus et existants à ce jour, la garde au drapeau ainsi que les différents guidons connus à ce jour.
Une prière à la chapelle de Notre-Dame clotura la journée.
mercredi 2 mars 2011
Journée de printemps à la Flèche
Chers amis,
dimanche 3 avril 2011
- 9h 15 prière à la croix des Vendéens
- 10 h présentation du drapeau de Bonchamps par la famille qui le détient au Doussay
- 11h messe à Saint Thomas
- 12h30 pique-nique au collège lycée Jeanne d'Arc Notre Dame 46 rue de la Magdeleine chacun apporte son repas
- 15h conférence par pierre Gréau Vexillogie des Vendéens (...les vendéens et leurs drapeaux)
- 16h30 ou 17h prière à la chapelle de Notre Dame
mardi 14 décembre 2010
après midi du samedi 11 décembre
A 15 h le 11 décembre un cercle de fidèles du SOUVENIR VENDEEN s'est retrouvé à la crois de Malalbry route de Sablé. Nous avons priés avec le père Cléret curé de La Flèche et chanté le "Vexilla Regis". Trois passants ont arrtées leur voiture et se sont ralliées à nos étendards de Sacré-Coeur de Jésus qui les ont interpellés dans leur périple.
A 15h 30 -un peu passées- nous nous sommes recueillis devant la croix de la BelleEntreprise replantée d'un églantier par Denis Besnard. Le propriétaire du terrain de la croix était d'ailleurs venu le voir et faire reconnaître.
A 16h15 nous étions attablés à Cérans -Foulletourte pour nous rafraîchir et dire au revoir aux Fléchois.
A 17h nous retrouvions le Père Davoust pour prier dans l'allée des veuves aux Jacobins près des fouilles du Mans et du trou du futur Espace-Culturel Dans la nuit qui allait tomber. Puis ce fut les traditionnels échanges autour d'un vin chaud au Jet d'Eau.
A 15h 30 -un peu passées- nous nous sommes recueillis devant la croix de la BelleEntreprise replantée d'un églantier par Denis Besnard. Le propriétaire du terrain de la croix était d'ailleurs venu le voir et faire reconnaître.
A 16h15 nous étions attablés à Cérans -Foulletourte pour nous rafraîchir et dire au revoir aux Fléchois.
A 17h nous retrouvions le Père Davoust pour prier dans l'allée des veuves aux Jacobins près des fouilles du Mans et du trou du futur Espace-Culturel Dans la nuit qui allait tomber. Puis ce fut les traditionnels échanges autour d'un vin chaud au Jet d'Eau.
jeudi 18 novembre 2010
après-midi du samedi 11 décembre La Flèche et Le Mans
217 ans après la Virée de Galerne
le samedi 11 décembre 2010
15 h à La Flèche
rassemblement et prière
à la croix des Vendéens
route de Sablé parking au Carrefour market
15h30
halte à la croix de la Belle-Entreprise
nouvellement fleurie
plantation d'un églantier par notre ami Denis Besnard
17h au Mans
Prière annuelle
allée des veuves
Quinconce des Jacobins
près des fouilles
suivi de notre traditionnel vin chaud près du jet d'eau
vendredi 24 septembre 2010
Un film de l'INRAP relate les découvertes au Mans en 2010
en cliquant sur ce lien vous pourrez visionner un film de 7 minutes de l'historien Ludovic Schmitt et l'archéologue Elodie Cabot de l'INRAP.http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Ressources-multimedias/Reportages-videos/Derniers-reportages/p-10526-Le-Mans-archeologie-de-la-viree-de-Galerne.htm
mercredi 8 septembre 2010
Les fouilles du Mans printemps été 2009
Les fouilles de sauvetage au Quinconce des Jacobins de la partie des vendéenne du site sont finies depuis mi-août. Nous remercions Pierre Chevet, responsable au Mans de l'INRAP (institut national de recherches archéologiques préventives), et Elodie Cabot, archéologue et anthropologue, ainsi que Michel Signoli, anthropologue de nous avoir permis de suivre leurs découvertes.
Qu'espèrent les anthropologues de ces fouilles? Voici la réponse d’Elodie Cabot :
" Grâce à l'étude des tombes et des défunts, nous pouvons restituer une part du monde des vivants de l'époque. Nous pouvons en apprendre beaucoup : comment ils ont vécu, de quoi ils ont souffert et, parfois, de quoi ils sont morts. C’est le cas ici au Mans où il s'agit majoritairement de mort violente Après les affrontements, la population mancelle a dû se débrouiller toute seule et trouver des solutions rapides pour faire disparaître les corps. A l'époque, on avait très peur des épidémies.L'aspect social a autant d'importance que l'aspect évènementiel. En étudiant de très nombreux corps, on prend "une photographie de la société française de la fin du XVIIIe siècle.
Neuf fosses étaient présentes dans la zone fouillée, à l’emplacement du futur Espace culturel décidé par la municipalité du Mans. Elles étaient situées à 50 ou 60 centimètres de profondeur. Les neufs charniers fouillés ont maintenant disparus sur le quinconce des Jacobins
160 corps ont été retrouvés et examinés. Ils sont désormais stockés au Centre de recherche archéologique de l'INRAP (Institut de Recherche Archéologique Préventive) du Mans.
Qui étaient-ils? La moitié sont des squelettes d'hommes ; 30 à 40% des adultes sont des femmes ; une femme enceinte d'un fœtus de sept à huit mois a été découverte ainsi qu’un enfant de deux à trois ans. L'enfant a été retrouvé dans une fosse qui regroupait dix-sept femmes et deux autres corps sans doute aussi féminins. Il existe des fosses remplis exclusivement d'hommes. Les femmes ont sans doute été sabrées sur le crâne, d’en haut, peut-être par des cavaliers juchés sur leur cheval. Les hommes ont plutôt été tué par des armes à feu. Deux boulets ont été trouvés au milieu des corps, ainsi que de la mitraille sur les os et dans les fosses, et des balles en plomb. Des victimes à l'arme blanche sont atteintes aux membres, bras et membres inférieurs. D'autres ont le crâne fracassé. " Des coup pour tuer, souvent au sabre, même si les tranchants et les largeurs de lame sont très variables. Les corps ne semblent pas systématiquement dépouillés ; on a retrouvé aussi des chapelets, médailles et boutons. Il est possible que les plaies sanguinolentes et béantes aient rendu les vêtements irrécupérables. Il est à noter que les archéologues ont relevé un nombre important et inhabituel, pour un population de cette époque, de caries dentaires tant chez les plus jeunes que chez les adultes. Voilà pour les premières conclusions provisoires.
Pour l'instant, nous devons encore attendre les études spécialisées et détaillées qui vont compléter les premières constatations sur le terrain. Les corps ont été déplacés alors que la " raideur cadavérique" était passée. Cette raideur, bien connue des médecins légistes, s'installe en une heure environ et fige pendant vingt-quatre heures le cadavre dans la position où il se trouve après sa mort. Dans les fosses du Mans, les cadavres ont été allongés, soit tenus par les pieds ou les mains, soit tirés par les membres, face tantôt vers le ciel, tantôt vers la terre. Certains remplissent au milieu l'espace restant en borde de la fosse. De la chaux vive a été jetée soit dans la fosse, soit sur la fosse si bien qu'on en retire de gros blocs. C'était une méthode conseillée par les hygiénistes pour lutter contre les épidémies. Cette chaux a l'inconvénient pour les archéoloques de s'attaquer aux restes humains ainsi traités.
Qu’en est-il des autres corps? En effet il est probable que sur les milliers de morts, lors du passage des Vendéens au Mans, environ deux mille reposent aux Jacobins. Beaucoup vont être épargnés par le nouveau bâtiment et son terrassement. Cependant sur les 9 000 m² de l'emprise du futur espace culturel seuls 3 000 m² ont été fouillés en 2009 et 2010. Il ya donc un risque potentiel de voir des corps emportés sans autre forme de respect. Une lettre a été adressée en ce sens au maire du Mans, dont nous attendons la réponse. De leur côté les archéologues sont attentifs à de la suite qui sera donnée à cette première campagne de fouilles. Car ils sont passionnés par le sujet. Tout devrait se préciser dans les jours ou semaines qui viennent.
D'ici la fin de l’année 2010, l'INRAP va établir un bilan et sans doute le publier, étant donné l'intérêt général et l'importance de cette fouille de sauvetage au Mans.
Quel sera le devenir des restes humains et des découvertes ? L'association Le Mans Virée de Galerne propose un musée rue Lionel Royer dans une chapelle sans affectation actuelle, qui fait partie d'un immeuble ancien que rénove la Foncière Lelièvre à 2 ou 300 m du jardin. Ce musée pourrait recevoir un ossuaire provisoire d'aprés linterview de Cécile Bayle de Jessé par Jacques Guichard le Maine Libre du 17 juillet 2010. En 2008, le maire du Mans avait émis la possibilité d’une inhumation des restes au cimetière de l'Ouest, de l'autre côté de la Sarthe, à environ 1 km du site. Pour toutes les personnes contactées depuis à ce sujet, la solution la plus convenable et la seule envisageable, dans le respect de l’humanité, serait le retour des corps sur place, dans le jardin des Jacobins, au milieu de leurs autres compagnons d'armes, restés sur place, et probablement aussi de certains membres de leur famille morts dans les mêmes circonstances dramatiques et enfouis, en même temps qu’eux, à la hâte sur le même site.
M. Jean-Claude Boulard, qui s'est par ailleurs exprimé sur le sujet en déclarant publiquement "on ne commémore pas une guerre civile", a proposé de rendre ces corps à ceux qui les réclameraient et notamment à leur famille. Il semble que quelques demandes aient été déposées dans ce sens. Souhaitons que la suite donnée à cet extraordinaire champ de fouille tienne compte aussi bien des exigences de l’histoire que du respect des morts.
Qu'espèrent les anthropologues de ces fouilles? Voici la réponse d’Elodie Cabot :
" Grâce à l'étude des tombes et des défunts, nous pouvons restituer une part du monde des vivants de l'époque. Nous pouvons en apprendre beaucoup : comment ils ont vécu, de quoi ils ont souffert et, parfois, de quoi ils sont morts. C’est le cas ici au Mans où il s'agit majoritairement de mort violente Après les affrontements, la population mancelle a dû se débrouiller toute seule et trouver des solutions rapides pour faire disparaître les corps. A l'époque, on avait très peur des épidémies.L'aspect social a autant d'importance que l'aspect évènementiel. En étudiant de très nombreux corps, on prend "une photographie de la société française de la fin du XVIIIe siècle.
Neuf fosses étaient présentes dans la zone fouillée, à l’emplacement du futur Espace culturel décidé par la municipalité du Mans. Elles étaient situées à 50 ou 60 centimètres de profondeur. Les neufs charniers fouillés ont maintenant disparus sur le quinconce des Jacobins
160 corps ont été retrouvés et examinés. Ils sont désormais stockés au Centre de recherche archéologique de l'INRAP (Institut de Recherche Archéologique Préventive) du Mans.
Qui étaient-ils? La moitié sont des squelettes d'hommes ; 30 à 40% des adultes sont des femmes ; une femme enceinte d'un fœtus de sept à huit mois a été découverte ainsi qu’un enfant de deux à trois ans. L'enfant a été retrouvé dans une fosse qui regroupait dix-sept femmes et deux autres corps sans doute aussi féminins. Il existe des fosses remplis exclusivement d'hommes. Les femmes ont sans doute été sabrées sur le crâne, d’en haut, peut-être par des cavaliers juchés sur leur cheval. Les hommes ont plutôt été tué par des armes à feu. Deux boulets ont été trouvés au milieu des corps, ainsi que de la mitraille sur les os et dans les fosses, et des balles en plomb. Des victimes à l'arme blanche sont atteintes aux membres, bras et membres inférieurs. D'autres ont le crâne fracassé. " Des coup pour tuer, souvent au sabre, même si les tranchants et les largeurs de lame sont très variables. Les corps ne semblent pas systématiquement dépouillés ; on a retrouvé aussi des chapelets, médailles et boutons. Il est possible que les plaies sanguinolentes et béantes aient rendu les vêtements irrécupérables. Il est à noter que les archéologues ont relevé un nombre important et inhabituel, pour un population de cette époque, de caries dentaires tant chez les plus jeunes que chez les adultes. Voilà pour les premières conclusions provisoires.
Pour l'instant, nous devons encore attendre les études spécialisées et détaillées qui vont compléter les premières constatations sur le terrain. Les corps ont été déplacés alors que la " raideur cadavérique" était passée. Cette raideur, bien connue des médecins légistes, s'installe en une heure environ et fige pendant vingt-quatre heures le cadavre dans la position où il se trouve après sa mort. Dans les fosses du Mans, les cadavres ont été allongés, soit tenus par les pieds ou les mains, soit tirés par les membres, face tantôt vers le ciel, tantôt vers la terre. Certains remplissent au milieu l'espace restant en borde de la fosse. De la chaux vive a été jetée soit dans la fosse, soit sur la fosse si bien qu'on en retire de gros blocs. C'était une méthode conseillée par les hygiénistes pour lutter contre les épidémies. Cette chaux a l'inconvénient pour les archéoloques de s'attaquer aux restes humains ainsi traités.
Qu’en est-il des autres corps? En effet il est probable que sur les milliers de morts, lors du passage des Vendéens au Mans, environ deux mille reposent aux Jacobins. Beaucoup vont être épargnés par le nouveau bâtiment et son terrassement. Cependant sur les 9 000 m² de l'emprise du futur espace culturel seuls 3 000 m² ont été fouillés en 2009 et 2010. Il ya donc un risque potentiel de voir des corps emportés sans autre forme de respect. Une lettre a été adressée en ce sens au maire du Mans, dont nous attendons la réponse. De leur côté les archéologues sont attentifs à de la suite qui sera donnée à cette première campagne de fouilles. Car ils sont passionnés par le sujet. Tout devrait se préciser dans les jours ou semaines qui viennent.
D'ici la fin de l’année 2010, l'INRAP va établir un bilan et sans doute le publier, étant donné l'intérêt général et l'importance de cette fouille de sauvetage au Mans.
Quel sera le devenir des restes humains et des découvertes ? L'association Le Mans Virée de Galerne propose un musée rue Lionel Royer dans une chapelle sans affectation actuelle, qui fait partie d'un immeuble ancien que rénove la Foncière Lelièvre à 2 ou 300 m du jardin. Ce musée pourrait recevoir un ossuaire provisoire d'aprés linterview de Cécile Bayle de Jessé par Jacques Guichard le Maine Libre du 17 juillet 2010. En 2008, le maire du Mans avait émis la possibilité d’une inhumation des restes au cimetière de l'Ouest, de l'autre côté de la Sarthe, à environ 1 km du site. Pour toutes les personnes contactées depuis à ce sujet, la solution la plus convenable et la seule envisageable, dans le respect de l’humanité, serait le retour des corps sur place, dans le jardin des Jacobins, au milieu de leurs autres compagnons d'armes, restés sur place, et probablement aussi de certains membres de leur famille morts dans les mêmes circonstances dramatiques et enfouis, en même temps qu’eux, à la hâte sur le même site.
M. Jean-Claude Boulard, qui s'est par ailleurs exprimé sur le sujet en déclarant publiquement "on ne commémore pas une guerre civile", a proposé de rendre ces corps à ceux qui les réclameraient et notamment à leur famille. Il semble que quelques demandes aient été déposées dans ce sens. Souhaitons que la suite donnée à cet extraordinaire champ de fouille tienne compte aussi bien des exigences de l’histoire que du respect des morts.
lundi 21 juin 2010
Dîner de rue au Mans rue de la Bataille
Invité par Alain Guimier, menuisier rue de la Bataille, le Souvenir Vendéen y était présent hier soir dansi une ambiance chaleureuse et bon enfant pour présenter le passage des Vendéens au Mans.
Les 70 à 80 convives respectèrent le temps de l'orateur pendant la fin du repas.
A l'aide de cartes de la Vendée miltaire et de la viréee de Galerne, de carte du Mans, de gravure de la bataille et et reproduction des portraits des généraux vendéens Henri Baguenier Desormeaux présenta cette épopée consécutive à la persécussion religieus et les batailles et massacres du Mans.
Des extraits des derniers quotidiens permettaient de faire le point des fouilles.
Pour beaucoup cet aspect de la Révolution Française fût une découverte.
Les 70 à 80 convives respectèrent le temps de l'orateur pendant la fin du repas.
A l'aide de cartes de la Vendée miltaire et de la viréee de Galerne, de carte du Mans, de gravure de la bataille et et reproduction des portraits des généraux vendéens Henri Baguenier Desormeaux présenta cette épopée consécutive à la persécussion religieus et les batailles et massacres du Mans.
Des extraits des derniers quotidiens permettaient de faire le point des fouilles.
Pour beaucoup cet aspect de la Révolution Française fût une découverte.
vendredi 18 juin 2010
un squelette d'enfant trouvé dans les victimes du Mans
les fouilles du Mans communiquent assez peu malgré l'ampleur des découvertes. Cependant les archéologues ont convoqué la presse locale FR3 et France Culture pour faire un point des travaux.
OUEST FRANCE et Le MAINE LIBRE le relatent dans les deux articles d'aujourd'hui 18 juin 2010. On vient notament découvrir le premier squelette d'enfant dans les victimes de la bataille et surtout du massacre du 13 décembre 1793.
OUEST FRANCE et Le MAINE LIBRE le relatent dans les deux articles d'aujourd'hui 18 juin 2010. On vient notament découvrir le premier squelette d'enfant dans les victimes de la bataille et surtout du massacre du 13 décembre 1793.
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